Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, les infrastructures de recherche du CNRS ont dû s’adapter : la plupart ont fermé leurs portes mais certaines doivent maintenir une activité essentielle.
Conséquence directe de la pandémie, la plupart des infrastructures de recherche et très grandes infrastructures de recherche (TGIR) ont réduit leurs activités au strict minimum de sécurité. « Il est plus sage de limiter les activités de recherche qui ne sont pas directement liées au coronavirus », estime Alain Schuhl, directeur général délégué à la science du CNRS, qui organise, avec le président du Comité des très grands équipements scientifiques et grandes infrastructures (TGIR) du CNRS, Eric Humler, un repli en bon ordre.
Plus d’information sur l’adaptation des installations de RMN, l’ESRF et le CERN au contexte de crise sanitaire du COVID-19 sur le site web du CNRS.